La Fondation Universitaire organise régulièrement des activités pour les membres du Club. Dans la présente rubrique un bref rapport est donné de quelques activités passées.
Mercredi le 3 février 2016 à 12h30 le Club de la Fondation Universitaire a organisé un déjeuner-débat (N/F) avec le Ministre Mark Eyskens sur « Le transhumanisme », consacré à son nouveau livre «Veelal. Een theorie van alles».
Commentaires par le Prof. Frans Cerulus, emeritus gewoon hoogleraar van KULeuven et professeur honoraire de l’UCL.
Discussion modérée par l'ambassadeur Johan Swinnen.
Activité orgaisée en collaboration avec VIRA.
Déjeuner-débat sur « Regards croisés sur l’Iran d’aujourd’hui », introduit par M. Vincent Eiffling, chercheur en relations internationales à l’UCLouvain, et commentarié par le Prof. Bernard Coulie, recteur honoraire de l’UCL.
Les membres du Club de la Fondation Universitaire ont été cordialement invités au cocktail de Nouval An, le jeudi 28 janvier 2016 à 17h30. Pendant cette réception le recteur honoraire Els Witte a donné une causerie sur son livre "Un Royaume Perdu" à l'occasion du 150e anniversaire de la fondation du Royaume Uni des Pays Bas (1815-1830), avec des commentaires par Monsieur Jacques De Decker, Secrétaire Perpétuel de l'Académie Royale de Langue et Littérature Françaises de Belgique.
Lunch-débat avec M. Pierre Defraigne et M. Rik Daems (remplacé par Tim VANDENPUT) sur : Un traité transatlantique de libre échange et d'investissement: Progrès ou risque pour l'Europe? Modérateur: Prof. Jacques Bourgeois, Collège d'Europe, Bruges.
Conscients des défis de la globalisation, les 28 gouvernements de l'Union Européenne donnèrent, en 2013, un mandat à la Commission pour négocier avec les États-Unis un traité de libre échange. Au cours de ces négociations des critiques surgirent de la société européenne et du Parlement Européen: en craignant que les normes européennes en matière d'environnement ne soient abaissées ou qu'un problème de contrôle démocratique ne se pose à la suite de la création des procédures d'arbitrage sur les questions des investissements (investor-state dispute settlement).
Le traité U.E -U.S.A. de libre-échange signifie-t-il une chance de progrès et de bien-être ou constitue-t-il un risque sérieux pour l'Europe?
Monsieur Pierre Defraigne : économiste, fonctionnaire européen de 1970 à 2005 : DG adjoint à la DG Commerce, Directeur de Cabinet de Pascal Lamy (1999-2002) et d’Etienne Davignon (1977-1983). Il a été Directeur de la branche bruxelloise de l’Institut français des relations internationales (IFRI). Il est actuellement Directeur du Centre Madariaga - Collège d’Europe. Il a enseigné à l'UCL et enseigne maintenant au Collège d'Europe et à Science-Po, Paris.
De heer Rik Daems, handelsingenieur (VUB – Solvay Business School), is momenteel lid van het Vlaams Parlement en deelstaatsenator. Onder de regering Verhofstadt I (1999 – 2003) was hij Minister van Telecommunicatie en Overheidsbedrijven en Paricipaties. Later zou hij ook belast worden met Middenstand.
Puisque La Monnaie est fermée pendant une bonne partie de la saison 20015-2016 pour cause de travaux de rénovation, nous avons pris une option pour de bonnes places pour l'opéra La Bohème (Giacomo PUCCINI), Opéra de Gand, Schouwburgstraat 3 – 9000 Gent (parking “De Kouter”).
Pour plus d'informations sur le sujet de l'opéra le lecteur est invité à consulter le site-de "Opera Vlaanderen".
Le Club de la Fondation Universitaire a organisé une visite guidée supplémentaire de l’exposition “ANATOLIA.Terre de rituels” (dans le cadre d'Europalia Turquie) avec le Prof. Marc Waelkens (KULeuven), Commissaire de l'exposition. Une visite guidée en Français le matin et en Néerlandais l'après-midi, avec un dèjeuner en commun à la Fondation Universitaire.
L'exposition:
Deux cents des plus beaux trésors archéologiques, miniatures, textiles et sculptures issus des collections de prestigieux musées turcs sont exposés pour la première fois à Bruxelles. Ils donnent un aperçu intriguant des civilisations qui se rencontrent, se mélangent et se succèdent depuis des siècles en Anatolie. Cette exposition part à la recherche de ce qui unit les Hittites aux Ottomans, les chrétiens aux musulmans, ou encore la déesse phrygienne Cybèle aux dieux de l’Olympe. Dans Anatolia, découvrez les liens séculaires entre l’être humain et les rituels et cultes qui définissent sa relation au cosmos, à la nature et aux divinités, de la préhistoire au XXe siècle.
Depuis des millénaires, l’Anatolie est un pont entre l’Europe et l’Asie, où d’innombrables migrations ont suscité des échanges culturels fascinants. Douze millénaires de cultures successives en ont fait un berceau de cultures parmi les plus importants au monde, et lui ont légué un patrimoine d’une exceptionnelle richesse. Les représentants de ces cultures ont en grande majorité été absorbés dans de nouvelles civilisations ou états, permettant la transmission, parfois jusqu’à ce jour, de nombreux rituels.
Visite guidée de l'exposition “Pop Art in Belgium” (ING CENTER, Place Royale 6, 1000 Bruxelles)suivie d'un dîner à la Fondation Universitaire.
L'exposition se propose d'apporter une réponse à deux questions pertinentes : Comment le pop art international est-il arrivé en Belgique? et Comment nos artistes l'ont-ils intégré à leurs œuvres? Les chefs-d'œuvre de pop art international et belge exposés proviennent de différents musées et de dizaines de collections privées. Ils ont été regroupés en six grands thèmes. Ces thèmes n'ont rien de neuf dans le monde de l'art, bien au contraire : ils lui sont, pour ainsi dire, consubstantiels. Mais cette fois, ils ont été soumis au regard critique et acéré du pop art. Une exposition étonnante qui réunit pour la première fois des œuvres majeures des grandes stars internationales du Pop Art (Warhol, Lichtenstein, Rosenquist, Wesselmann …) avec ceux de nos artistes belges de l’époque (Evelyne Axell, Pol Mara, Marcel Broodthaers, Panamarenko, …) - « Pop Art in Belgium ! ». Une immersion dans la vague Pop qui a déferlé en Europe durant les Sixties et imprégné le monde de l’art belge !
Le débat a été introduit par Paul DUJARDIN, Directeur Général du Palais des Beaux-arts (en néerlandais).
Le Bozar a connu une ascension remarquable en tant que maison de la culture et compte près de 400 collaborateurs. Il poursuit un ambitieux programme d’investissements. Ses activités couvrent un champ beaucoup plus large que les Beaux-Arts. Cependant, bien que situé à quelque 300 mètres de la Grand-Place il ne participe aucunement à son animation, pas plus qu’à celle du Sablon. D’autres quartiers et villes multiplient les projets dans les mêmes secteurs. Paul Dujardin est très conscient des défis qui attendent le Bozar et il a présenté ses projets d’avenir à Bruxelles et dans la Belgique de demain.
Vous trouvez le bilan du débat sur http://www.ffue.org/2015/04/a-world-of-cities-brussels-02102015/.
Visite guidée de l’exposition « Imagine Istanbul », suivie d'un dîner de Saint Nicolas à la Fondation Universitaire
Istanbul est un catalyseur des processus culturels qui n’a eu cesse de changer de sens, de signification et d’apparence. Istanbul est en perpétuelle évolution et continue de défier toute représentation exclusive, récit éloquent ou généralisation. Istanbul est une muse infatigable. Imagine Istanbul se penche sur certains des artistes qui ont marqué la photographie en Turquie au 20ème siècle - mais aussi la musique, le cinéma et la littérature – pour illustrer la manière dont ces formes d’art déterminent notre perception de la ville. Cette exposition explore une série de révélations photographiques, d’œuvres qui se déplacent le long des eaux qui divisent la ville.
Visite guidée de l’exposition “ANATOLIA. Terre de rituels” au Bozar, suivie d'un dîner de chasse à la Fondation Universitaire.
Depuis des millénaires, l’Anatolie est un pont entre l’Europe et l’Asie, où d’innombrables migrations ont suscité des échanges culturels fascinants. Douze millénaires de cultures successives en ont fait un berceau de cultures parmi les plus importants au monde, et lui ont légué un patrimoine d’une exceptionnelle richesse. Les représentants de ces cultures ont en grande majorité été absorbés dans de nouvelles civilisations ou états, permettant la transmission, parfois jusqu’à ce jour, de nombreux rituels.